En France et à l’étranger, Pierre Pouchairet a vécu les procédures, les ambiances et les «milieux» qui inspirent ses romans. Dans ses livres, éclate une vérité qui dépasse l’imagination, la vérité d’une vie engagée…
Pierre Pouchairet vient de recevoir le 68e prix du Quai des Orfèvres, décerné chaque année par un jury composé de policiers, de magistrats, d’avocats, de journalistes et d’un réalisateur.
Chaque année, ce prix est attribué à un roman anonyme.
Son roman, Mortels trafics, est publié par les éditions Fayard.
À croire qu’il est plus important d’intercepter des « go fast » de cannabis que d’arrêter des tueurs…
Si la marchandise est perdue, rien ne vous protègera plus, même pas les barreaux d’une prison…
Une rumeur assassine s’en prend à l’innocence d’une famille.
La violence des trafics mobilise Stups et Crim’ au-delà des frontières, dans le secret d’enquêtes mettant à l’honneur des tempéraments policiers percutants, parfois rebelles, toujours passionnés.
Ce n’est pas pour rien que Pierre Pouchairet a reçu le Prix du Quai des Orfèvres 2017 avec Mortels trafics. Il s’inscrit en effet dans l’esprit des fondateurs de ce prix prestigieux.
L’action, le suspense et les personnages rendent ce roman indispensable en cette fin d’année. Plus dynamique que jamais encore, Pierre Pouchairet ne laisse pas une minute de repos au lecteur (ni à ses personnages d’ailleurs, même s’ils subissent quelques heures de planque bien ennuyeuses). Au final, ce roman mené comme un « go fast » laisse espérer des retrouvailles avec ces nouveaux personnages.
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