Résumé
Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs. La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n’a-t-il pas sa contrepartie ?
Est-ce que c’est ça, ma vie, maintenant ? songe-t-elle en pénétrant dans le gymnase de Castle Rock. Est-ce que cette boîte est devenue toute ma vie ?
Mon avis
Stephen King est un habitué des nouvelles. On se souvient de ses nombreux recueils aux textes parfois inégaux. Mais souvent, quand il s’associe à un autre écrivain, cela donne des étincelles.
L’histoire de Gwendy est classique dans l’univers de Stephen King : une jeune fille confrontée au surnaturel. C’est dans son développement que l’histoire trouve son originalité.
Et cette histoire de boîte à boutons est explosive.
Gwendy et la boîte à boutons, Stephen King et Richard Chizmar, Le Livre de Poche, inédit, 5,99 €.
Édition illustrée dont 4 illustrations inédites.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Michel Pagel.
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