Vipère noire, Boris Starling, traduction : Philippe Vigneron, Archipoche, 480 pages, 8,80€.
Banlieue d’Aberdeen. Le corps d’une femme est retrouvé dans les fourrés. Poignardée. Sur sa gorge, fixée par un arceau métallique, une vipère noire. Vivante.
En mer du Nord, quelque part entre la Norvège et l’Écosse, un car ferry sombre. Des centaines de passagers étaient à son bord… Une catastrophe sans précédent. Sans nul doute, un attentat. Non revendiqué et sans mobile apparent.
Existe-t-il un lien entre ces deux affaires ? Certes, le commissaire Kate Beauchamp, en charge de l’enquête sur le maniaque au serpent, est l’une des rescapées du naufrage. Une simple coïncidence, bien sûr. À moins que…
Ancien reporter au Sun et au Daily Telegraph, Boris Starling, né en 1969, vit dans le Dorset (UK) et travaille pour une agence spécialisée dans la gestion de crise. Vendredi saint (Archipoche, 2016), son premier roman, a été comparé outre-Manche au Silence des agneaux et à Seven. L’Archipel a publié par la suite Vodka (2006).
Mon avis :
Ce roman de Boris Starling est tout simplement parfait ! Rien ne manque à l’histoire ni au suspense. Il est incompréhensible que cet écrivain ne soit pas plus connu en France. Ce deuxième roman que je lis, après Vendredi Saint, me donne envie d’en lire plus de cet auteur.